parole de chansson
Publié le 29/05/2009 à 13:42 par chezpierrette

Lulu vendait ces toiles
Jacquot plongeait dans un bistro
Dédé goûtait les vins
Moi, j'étais fort au halles
Et Jéjé lavait les carreaux
Pierrot ne faisait rien
On s'était fait les poches
Pour se payer un vieux tacot
Fleuri sur le capot
Qui rêvait de Provence
Et qui mourut à Fontainebleau
On allumait une cigarette et tout s'allumait
Et c'était la fête, le quatorze Juillet
Il n'y avait jamais un copain de trop
Dans l'équipe à Jojo
Y avait moins des nuits sans guitare que des jours sans pain
On partageait tout et on n'avait rien
Qu'est-ce qu'on était fou, qu'est-ce qu'on c'en foutait
Qu'est-ce qu'on était bien
On louait pour des prunes
Les quatre murs d'un vieux grenier
Tout près à s'écrouler
Mais pour toute une fortune
On n'aurait pas déménagé
On allumait une cigarette et tout s'allumait
Et c'était la fête, le quatorze Juillet
Il n'y avait jamais un copain de trop
Dans l'équipe à Jojo
Y avait moins des nuits sans guitare que des jours sans pain
On partageait tout et on n'avait rien
Qu'est-ce qu'on était fou, qu'est-ce qu'on c'en foutait
Qu'est-ce qu'on était bien
Lucien a mis les voiles
Et Jacques s'est payé un bistro
Où André boit de l'eau
Je n'suis plus fort au hale
Roger inspecte les impôts
Pierre cherche du boulot
J'ai changé de guitare
Mais j'ai gardé comme un cadeau
Cet air qui me tient chaud
Du fond de la mémoire
Celui de l'équipe à Jojo
On allumait une cigarette et tout s'allumait
Et c'était la fête, le quatorze Juillet
Il n'y avait jamais un copain de trop
Dans l'équipe à Jojo
Y avait moins des nuits sans guitare que des jours sans pain
On partageait tout et on n'avait rien
Qu'est-ce qu'on était fou, qu'est-ce qu'on c'en foutait
Qu'est-ce qu'on était bien
Publié le 17/05/2009 à 19:06 par chezpierrette
Avec le poids des années
J'ai cherché nos baisers
Mais après toi le verbe aimer
S'est fermé est comme usé
Il y a sur mon corps
Le feu de tes doigts
Quelquefois
Ce qu'on croyait mort
A dormi tout au fond de moi
et s'éveille encore
Quelquefois
Parlez-moi de nous
Parlez-moi du passé
Des rêves fous
Qu'on laisse s'envoler
Parlez-moi de nous
Des projets qu'on a faits
Quand on perd tout
Que fait-on des regrets ?
Que fait-on de ces regrets ?
Près de toi j'ai trop rêvé
A hier, à jamais
Mon cœur avait oublié
Quelque part de s'ancrer
Il y a sur mon corps
Le feu de tes doigts
Quelques fois
Parlez-moi de nous
Parlez-moi du passé
Des rêves fous
Qu'on laisse s'envoler
Parlez-moi de nous
Des projets qu'on a faits
Quand on perd tout
Que fait-on des regrets ?
Que fait-on de ces regrets ?
I believe in all these memories
I save apart this rich past
Cause this love is my last
I survive for all this hollow
My dreams of you
Dreams of you
Parlez-moi de nous
Parlez-moi du passé
Des rêves fous
Qu'on laisse s'envoler
Parlez-moi de nous
Des projets qu'on a faits
Quand on perd tout
Que fait-on des regrets ?
Que fait-on de ces regrets Héléne Ségara
Publié le 17/05/2009 à 19:02 par chezpierrette
Je n'ai jamais su dire
Les mots qu'il fallait pour te plaire
Je suis très maladroit
Et je ne comprends pas pourquoi
Car je te fais du mal
Mais sans jamais vouloir t'en faire
Alors ne pleure pas pardonne-moi
Ce sera la dernière fois
{Refrain:}
Sans toi je suis seul
Sans toi mon amour
La vie ne signifie plus rien
A quoi servent les nuits
A quoi servent les jours
Sans toi je suis seul
Sans toi mon amour
Je n'ai plus personne à aimer
A quoi sert de lutter
A quoi sert d'exister ?
Je crois que nous ne pourrions pas
Nous passer l'un de l'autre
Mais l'amour et la vie
Se fond la guerre bien souvent
Je reconnais du fond du cœur
Que tout est de ma faute
Je regrette crois-moi regarde-moi
Faisons la paix encore une fois
{au Refrain, 2x}
Christian Delagrange
Publié le 17/05/2009 à 19:01 par chezpierrette
Jamais je n'aurais pensé...
"Tant besoin de lui"
Je me sens si envoûtée
Que ma maman me dit: ralentis
Désir ou amour
Tu le sauras un jour
J'aime j'aime
Tes yeux, j'aime ton odeur
Tous tes gestes en douceur
Lentement dirigés
Sensualité
Oh stop un instant
J'aimerais que ce moment
Fixe pour des tas d'années
Ta sensualité
Il parait qu'après quelques temps
La passion s'affaiblit
Pas toujours apparemment
Et maman m'avait dit: ralentis
Désir et amour tu le sauras un jour
J'aime j'aime
Tes yeux, j'aime ton odeur
Tous tes gestes en douceur
Lentement dirigés
Sensualité
Oh stop un instant
J'aimerais que ce moment
Fixe pour des tas d'années
Ta sensualité
Je te demande si simplement
Ne fais pas semblant
Je t'aimerai encore
Et encore
Désir ou amour... Axel RED
Publié le 17/05/2009 à 18:50 par chezpierrette
A faire pâlir tous les Marquis de Sade,
A faire rougir les putains de la rade,
A faire crier grâce à tous les échos,
A faire trembler les murs de Jéricho,
Je vais t'aimer.
A faire flamber des enfers dans tes yeux,
A faire jurer tous les tonnerres de Dieu,
A faire dresser tes seins et tous les Saints,
A faire prier et supplier nos mains,
Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme on ne t'a jamais aimée.
Je vais t'aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé.
Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme personne n'a osé t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme j'aurai tellement aimé être aimé.
Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
A faire vieillir, à faire blanchir la nuit,
A faire brûler la lumière jusqu'au jour,
A la passion et jusqu'à la folie,
Je vais t'aimer, je vais t'aimer d'amour.
A faire cerner à faire fermer nos yeux,
A faire souffrir à faire mourir nos corps,
A faire voler nos âmes aux septièmes cieux,
A se croire morts et faire l'amour encore,
Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme on ne t'a jamais aimée.
Je vais t'aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé.
Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme personne n'a osé t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme j'aurai tellement aimé être aimé.
Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.Michel Sardou
Publié le 17/05/2009 à 18:40 par chezpierrette
S'il y a des mots
Qui t'ont fait pleurer, mon ange,
Et d'autres qui t'ont révoltée,
S'il y a des idées quelquefois qui dérangent,
J'en ai qui font danser.
Te souviens tu d'un slow,
Dix ans plus tôt,
Déjà dix ans...
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait-on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant.
Je n'sais plus comment finissait la chanson.
J'ignorais qu'elle avait un nom.
C'était la chanson du bonheur
D'un vieil amant compositeur.
J'aime bien les histoires
Qui me font boire
Sans désespoir,
Les mélodies carrées
Qui font danser,
Qui font aimer la vie.
J'aime aussi, sur le tard,
Un piano bar
Qui meurt d'ennui,
Tous les disques oubliés
Qui font penser
Qu'on a déjà vieilli.
Je n'sais plus comment finissait la chanson.
J'ignorais qu'elle avait un nom.
C'était la chanson du bonheur
D'un vieil amant compositeur.
Te souviens tu d'un slow,
Dix ans plus tôt,
Déjà dix ans...
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait-on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant.
Te souviens tu d'un slow,
Dix ans plus tôt,
Déjà dix ans...
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait-on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant...Michel Sardou
Publié le 17/05/2009 à 18:26 par chezpierrette
Laura, y a tant d'hommes que je ne suis pas.
Y a tant de phrases qu'on dit, que je ne dirais pas.
Oh oh, Laura, j'aurais tant à apprendre de toi,
Tous ces mots tendres qu'on sait, moi je ne les sais pas.
J'ai poussé comme on respire,
Sans abri, ni foi, ni loi.
Ce qui m'a fait vivre était à moi.
Des caresses et des sourires,
J'ai souvent passé mon tour.
Je n'ai jamais appris à donner tant d'amour.
Laura, le temps passe et me remplit de toi.
J'n'avais besoin de personne et tant de place pour toi.
Oh oh, Laura, petit rien du tout mais tout pour moi,
Tous ces conseils qu'on donne, tu ne les entendras pas.
J'ai dépensé tant de forces
Pour des empires en papier,
Des rêves déjà presque oubliés,
Mais que le diable les emporte !
Tout me semble dérisoire,
Evaporé dans le bleu de ton regard.
Laura, Laura,
Oh oh oh, Laura...
Je n'attendais rien de toi, qu'une raison d'être là,
Juste une trace avant de partir.
Oh oh, mais de tes rires et de tes bras,
Tu m'inventes un avenir, te regarder pousser me fera grandir.
Oh oh oh, Laura.
Oh oh oh, Laura.
Oh oh oh, LauraJohnny halliday.
Publié le 17/05/2009 à 18:24 par chezpierrette
Mes amis, je dois m'en aller
Je n'ai plus qu'à jeter mes clés
Car elle m'attend depuis que je suis né
L'Amérique
J'abandonne sur mon chemin
Tant de choses que j'aimais bien
Cela commence par un peu de chagrin
L'Amérique
L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique
Mes amis, je vous dis adieu
Je devrais vous pleurer un peu
Pardonnez-moi si je n'ai dans mes yeux
Que l'Amérique
Je reviendrai je ne sais pas quand
Cousu d'or et brodé d'argent
Ou sans un sou, mais plus riche qu'avant
De l'Amérique
L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je rêverai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je veux rêverJoe Dassin
Publié le 17/05/2009 à 13:50 par chezpierrette
Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l'imagine habitant mon décor
J'aurais tant à lui dire si j'avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu'on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j'offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps
Mais j'ai beau tout donner, tout n'est pas suffisant
{Refrain:}
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J'ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d'autres ont versées
La vie n'est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l'enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j'entends battre tous les cœurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
{Refrain}Céline Dion
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on pouvait changer les choses et tout recommencer
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S'il suffisait d'aimer
Publié le 17/05/2009 à 13:44 par chezpierrette